l’Armée sans ennemis
l’Armée sans ennemis
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Dire que la visite de Guggenheim Bilbao ou la Biennale de Venise , sont des révélations pour Gauthier , oui ! indubitablement .
Est-il nécessaire d’avoir une grande technique pour exprimer une grande idée ? faire représente-il un aboutissement ?
D’autant le savent de quantités d’idées naîtront que peu de grands projets , maints oubliés , beaucoup abandonnés . L’idée maîtresse , elle , subsistera , la ligne , le garde fou .
Donc après 17 ans derrière ses fours à réaliser du «verre» , il va imaginer un univers ,
une courbe , des mouvements , un ressenti . Guidé par son expérience verrière il conserve
une seule chose : différent !
La lecture d’un ouvrage citant le ˵ savanturier Jacques Piccard ˶ , la proximité de
l’océan sont autant d’aliments aux premiers croquis de ˵ l’Armée sans ennemis ˶.
L’univers est singulier , des tripodes plutôt amphibiens , des formes intrigantes aux excroissances
multiples .
52 c’est le nombre choisi par Gauthier pour cette oeuvre , 52 pièces uniques . Ensuite viendra la réalisation du ...
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